Côte d'Ivoire - Les signes évidents d'une imminente attaque contre la Côte d'Ivoire sont perceptibles. Les chiens de guerre venus de l'Irak et de l'Afghanistan se mettent progressivement en place sur le territoire ivoirien. Deux containers de munitions embarqués depuis le port de Dakar et destinés à l'armée française en Côte d'Ivoire ont été récemment saisis par les autorités ivoiriennes.
Mais la France qui, cette fois-ci, refuse de se salir les mains comme ce fut le cas en novembre 2004 à l'Hôtel Ivoire, à Abidjan où l'armée française a tiré et tué 67 jeunes Ivoiriens aux mains nues, a changé de fusil d'épaule.
On se rappelle encore l'image affreuse de ce jeune homme dont la tête a été broyée par les tirs des chars français, laquelle image a fait le tour du monde. Tirant les leçons de cette entreprise criminelle qui a davantage terni son image sur le continent noir, la France et ses dirigeants actuels, ont décidé d'opposer, cette fois, les Africains, les éternels souffre-douleurs des pays occidentaux, les uns aux autres.
Comme s'il aimait la Côte d'Ivoire plus que les Ivoiriens eux-mêmes, le président français, Nicolas Sarkozy sous le fallacieux prétexte que «Gbagbo refuse de quitter le pouvoir», manoeuvre ferme pour assassiner le président ivoirien. Aussi, ce fils d'immigré a-t-il armé des Africains donc des mains noires aux fins d'accomplir au nom de la France, cette mission macabre.
Pour ce faire, Nicolas Sarkozy a dépêché en Côte d'Ivoire, précisément à Bouaké, la capitale de la rébellion ivoirienne, des cargos militaires qui assurent le transport des éléments de Guillaume Soro et d'Alassane Ouattara en direction du Burkina, du Sénégal et du Nigéria, là où les attendent des instructeurs français chargés de la formation de ces bandes armées.
D'où, la reconstitution de l'Ecomog. Mais à la vérité, ce sont les rebelles ivoiriens qui vont constituer le gros lot de cette force que l'Elysée s'active à déployer en Côte d'Ivoire et dont la mission spécifique serait de déloger le président élu, Laurent Gbagbo et d'installer dans le fauteuil présidentiel ivoirien, Alassane Ouattara, candidat malheureux à la présidentielle de novembre 2010 en Côte d'Ivoire.
Une mission somme toute périlleuse pour toute l'Afrique de l'Ouest et pour laquelle la France refuse d'assumer les conséquences en agissant en sous main sous le couvert de la Cedeao qu'elle a caporalisée. Et dire que la recolonisation de l'Afrique noire a repris de plus belle, il n'y a qu'un pas.
Robert Krassault
Sources : Afrique en ligne
Mais la France qui, cette fois-ci, refuse de se salir les mains comme ce fut le cas en novembre 2004 à l'Hôtel Ivoire, à Abidjan où l'armée française a tiré et tué 67 jeunes Ivoiriens aux mains nues, a changé de fusil d'épaule.
On se rappelle encore l'image affreuse de ce jeune homme dont la tête a été broyée par les tirs des chars français, laquelle image a fait le tour du monde. Tirant les leçons de cette entreprise criminelle qui a davantage terni son image sur le continent noir, la France et ses dirigeants actuels, ont décidé d'opposer, cette fois, les Africains, les éternels souffre-douleurs des pays occidentaux, les uns aux autres.
Comme s'il aimait la Côte d'Ivoire plus que les Ivoiriens eux-mêmes, le président français, Nicolas Sarkozy sous le fallacieux prétexte que «Gbagbo refuse de quitter le pouvoir», manoeuvre ferme pour assassiner le président ivoirien. Aussi, ce fils d'immigré a-t-il armé des Africains donc des mains noires aux fins d'accomplir au nom de la France, cette mission macabre.
Pour ce faire, Nicolas Sarkozy a dépêché en Côte d'Ivoire, précisément à Bouaké, la capitale de la rébellion ivoirienne, des cargos militaires qui assurent le transport des éléments de Guillaume Soro et d'Alassane Ouattara en direction du Burkina, du Sénégal et du Nigéria, là où les attendent des instructeurs français chargés de la formation de ces bandes armées.
D'où, la reconstitution de l'Ecomog. Mais à la vérité, ce sont les rebelles ivoiriens qui vont constituer le gros lot de cette force que l'Elysée s'active à déployer en Côte d'Ivoire et dont la mission spécifique serait de déloger le président élu, Laurent Gbagbo et d'installer dans le fauteuil présidentiel ivoirien, Alassane Ouattara, candidat malheureux à la présidentielle de novembre 2010 en Côte d'Ivoire.
Une mission somme toute périlleuse pour toute l'Afrique de l'Ouest et pour laquelle la France refuse d'assumer les conséquences en agissant en sous main sous le couvert de la Cedeao qu'elle a caporalisée. Et dire que la recolonisation de l'Afrique noire a repris de plus belle, il n'y a qu'un pas.
Robert Krassault
Sources : Afrique en ligne
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