mercredi, septembre 14, 2011

MISS Angola sacrée MISS Univers au coeur d’une campagne de dénigrement ?

En effet ce sont les propos pour le moins étranges de la Miss France, Laury Thilleman, sur la gagnante Leila LOPEZ , qui deux jours après la fin de l’édition 2011 de MISS Univers, jettent le trouble. : "C'est la seule jeune fille que je n'ai pas trop connue. On ne la voyait pas beaucoup, elle était très discrète. Elle était souvent en jeans et pas maquillée. On a toute été surprise de sa victoire. Beaucoup de filles ont fait des efforts qui n'ont pas été récompensés. Je ne sais pas, il manque quelque chose dans son tempérament. Le fait que le concours se soit déroulé au Brésil a sûrement joué (l'Angola est une ancienne colonie portugaise ndlr)".

Jalousie ou racisme non avoué, en tout cas ces déclarations rapportées par le site Première.fr. ont des relents nauséabonds. Elle pointe du doigt la discrétion de la gagnante et le fait qu’elle n’était pas maquillée d’une part ; et de l’autre, elle laisse entendre l’idée que le concours aurait été truqué par le pays organisateur (Brésil) pour favoriser la candidate issu d’une ancienne colonie portugaise. On ne voit pas trop le lien entre la beauté et le fait que l’Angola et le Brésil soient des anciennes colonies du Portugal.


Si les organisateurs avaient préféré le naturel au badigeonnage de certaines candidates, il n’y pas de mal à être peu maquillé. Pourtant l’on a vu les images de cette charmante demoiselle, gracieuse, élancée, illuminant l’assistance à chacune de ses apparitions sans trop en faire. Visiblement, Laury Thilleman a peut être eu du mal à encaisser le coup. Mais pas nous. Pas du tout fair-play, ces propos peu amènes à l’endroit de sa conseour angolaise traduisent une frustration qui dissimule mal une jalousie dont on aimerait connaître les fondements.


Et quant à nous, l’on n’a pas tout simplement boudé notre plaisir à apprécier le naturel sobre de cette Venus tropical. D’autant plus que c’était la première fois que cette cérémonie sacre une femme d’origine africaine depuis sa création en 1996. Affaire à suivre.

lundi, septembre 12, 2011

Françafrique : Bourgi balance "Mamadou Villepin" et "Davin Chirac"

A lire sans modération




"Avant toute chose, je veux dire que je parle en mon nom personnel, je ne suis mandaté par personne.....C'est ma conscience qui m'a dicté de parler"..."Trop, c’est trop. À 66 ans, j’en ai assez des donneurs de leçon et des leçons de morale… J’ai décidé de jeter à terre ma tunique de Nessus, cet habit qui me porte malheur et que je n’ai jamais mérité".
" J’ai travaillé avec Dominique pendant des années. Nous avons été très proches, comme on peut être proche d’un ami, de quelqu’un que l’on connaît intimement. Et puis, fin 2005, brutalement, il m’a chassé. Oui, il m’a déçu. N’est pas de Gaulle qui veut. L’entendre donner des leçons, lui que je connais de l’intérieur, m’exaspère".

" En mars 1997, le jour de l’enterrement de mon maître, Jacques Foccart, Dominique de Villepin m’appelle et me dit qu’il m’attend le soir même dans son bureau. Ce soir-là, à l’Elysée, il y a Jacques Chirac. Le président me demande de reprendre le flambeau avec Villepin… Et souhaite que je l’initie à ce que nous faisions avec le "Doyen", comme j’appelais Foccart". "Pendant trente ans, Jacques Foccart a été en charge, entre autres choses, des transferts de fonds entre les chefs d’État africains et Jacques Chirac. Moi-même, j’ai participé à plusieurs remises de mallettes à Jacques Chirac, en personne, à la mairie de Paris".

"En 1995, Juppé et Villepin se sont opposés à ce que Foccart occupe le bureau du 2, rue de l’Élysée, qui était son bureau mythique du temps de De Gaulle et Pompidou. Le "Doyen" en avait été très amer. Il avait continué à apporter les fonds, mais il avait été humilié.À ma connaissance, il n’y avait pas de comptabilité. Plusieurs dizaines de millions de francs par an. Davantage pendant les périodes électorales".
"Il n’y avait jamais moins de 5 millions de francs. Cela pouvait aller jusqu’à 15 millions. Je me souviens de la première remise de fonds en présence de Villepin. L’argent venait du maréchal Mobutu, président du Zaïre. C’était en 1995. Il m’avait confié 10 millions de francs que Jacques Foccart est allé remettre à Chirac. En rentrant, le "Doyen" m’avait dit que cela s’était passé "en présence de Villepinte", c’est comme cela qu’il appelait Villepin. Foccart ne l’a jamais apprécié… Et c’était réciproque".

"À l’approche de la campagne présidentielle de 2002, Villepin m’a carrément demandé "la marche à suivre". Il s’est même inquiété. C’est sa nature d’être méfiant. Je devais me présenter à l’Élysée sous le nom de "M. Chambertin", une de ses trouvailles. Pas question de laisser de traces de mon nom. Par mon intermédiaire, et dans son bureau, cinq chefs d’État africains - Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire), Denis Sassou Nguesso(Congo-Brazzaville) et, bien sûr, Omar Bongo (Gabon) - ont versé environ 10 millions de dollars pour cette campagne de 2002".

" Un exemple qui ne s’invente pas, celui des djembés (des tambours africains). Un soir, j’étais à Ouagadougou avec le président Blaise Compaoré. Je devais ramener pour Chirac et Villepin 3 millions de dollars. Compaoré a eu l’idée, "connaissant Villepin comme un homme de l’art", a-t-il dit, de cacher l’argent dans quatre djembés. Une fois à Paris, je les ai chargés dans ma voiture jusqu’à l’Élysée. C’est la seule fois où j’ai pu me garer dans la cour d’honneur! C’était un dimanche soir et je suis venu avec un émissaire burkinabais, Salif Diallo, alors ministre de l’Agriculture. Je revois Villepin, sa secrétaire, Nadine Izard, qui était dans toutes les confidences, prendre chacun un djembé, devant les gendarmes de faction… Les tams-tams étaient bourrés de dollars. Une fois dans son bureau, Villepin a dit : "Blaise déconne, c’est encore des petites coupures!".
" En général, un déjeuner était organisé avec Jacques Chirac pour le donateur africain, et ensuite, la remise de fonds avait lieu dans le bureau du secrétaire général. Une fois, j’étais en retard. Bongo, qui m’appelait "fiston" et que j’appelais "papa", m’avait demandé de passer à 14h 45. Nadine, la secrétaire de Villepin, est venue me chercher en bas et m’a fait passer par les sous-sols de l’Élysée. J’avais un gros sac de sport contenant l’argent et qui me faisait mal au dos tellement il était lourd. Bongo et Chirac étaient confortablement assis dans le bureau du secrétaire général de l’Élysée. Je les ai salués, et je suis allé placer le sac derrière le canapé. Tout le monde savait ce qu’il contenait. Ce jour-là, j’ai pensé au Général, et j’ai eu honte".

"Le président de Guinée équatoriale Obiang NGuéma, a voulu participer. J’ai organisé un déjeuner au ministère de l’Intérieur, en présence du président sénégalais Abdoulaye Wade et son fils Karim, au cours duquel Obiang NGuéma a remis à Villepin une mallette contenant un million et demi d’euros. Parfois, Dominique sortait directement l’argent devant nous, même si je venais accompagné d’un Africain, et, sans gêne, il rangeait les liasses dans ses tiroirs. Pour l’anecdote, je lui laissais parfois la mallette sans qu’il l’ouvre en lui donnant le code de la serrure… Une autre fois, lorsqu’il était à Matignon, Villepin s’impatientait parce que l’ambassadeur du Gabon était en retard. Il est finalement arrivé tout essoufflé avec un sac contenant 2 millions d’euros. "C’est lourd", disait-il… en frôlant l’infarctus".

" J’avais accès au gestionnaire du compte parisien d’Omar Bongo, et il m’est arrivé d’aider certaines personnes proches de Dominique, qui en avaient besoin. Avec "papa", nous avions un code: entre nous, nous appelions Jacques Chirac "Davin", et Dominique de Villepin "Mamadou". Villepin "Mamadou", parce qu’autrefois un secrétaire général du président gabonais se prénommait ainsi. Il me suffisait de dire : "Papa, 'Mamadou' a besoin de quelque chose." Et Omar Bongo me disait de faire le nécessaire".

jeudi, septembre 08, 2011

50 Cent : Une boisson énergétique pour aider l'Afrique

Sensible comme beaucoup de ses collègues du monde musical à la misère Africaine, le chanteur 50 Cent a décidé d'aider lui aussi le pays à se sortir de ce gouffre. Le rappeur a choisi de commercialiser dès la semaine prochaine une boisson énergétique dont tous les bénéfices serviront à nourrir les enfants du continent Africain.

Le rappeur 50 Cent qui n'a pas toujours été "bling bling" a été touché lors d'un récent voyage en Afrique par la misère qui règne sur le continent. Le chanteur a décidé comme ses collègues Madonna, Justin Bieber ou encore Rihanna, d'aider le pays à sortir de ce trouble. Pour cela, il a mis au point, en partenariat avec Pure Growth Partners, une boisson énergétique dont tous les bénéfices seront reversés à l'Afrique afin de nourrir les jeunes enfants.

La boisson appelée Street King Energy Shot sera commercialisée dès la semaine prochaine aux États-Unis. Les autres pays ne sont pas en reste puisqu'ils pourront commander la boisson sur le site internet de la marque. Coté composant, la boisson sera sans sucre et sans caféine.

Dans une vidéo postée sur internet lors de son passage en Australie, 50 Cent a déclaré : "J'ai grandi sans argent, mais je n'ai jamais connu la faim. Il y a beaucoup de gens là-bas et je le sais, ils meurent à cause de la faim. Et je pense qu'il est de notre responsabilisé d'allier nos forces et de faire des choses pour trouver une solution à ce fléau... Je veux nourrir un milliard d'enfants et j'ai besoin de votre aide pour y arriver".




Sources : news de stars.com