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mardi, mai 03, 2011
samedi, août 28, 2010
PS : en route vers le casse-pipe ?

On dit que l’été permet de se rafraîchir les idées. Il semble que les socialistes actuellement réunis à la Rochelle pour leur université d’été aient décidé de mettre en pratique ce lieu commun. Tant mieux. Les socialistes ne parlent donc que d’une seule voix. A en croire l’ancienne candidate à la présidentielle, Ségolène Royale « il faut éviter les sujets qui fâchent ». Notamment celui du futur candidat socialiste à la présidentielle de 2012. Pourtant, dans ce show estival « tous ensemble, tous ensemble », quelque chose me dit que l’on a mis volontairement le couvercle sur les vrais problèmes. Le choix d’un vrai leader et la capacité du PS à présenter une offre politique sérieuse pour prendre le gouvernail de la Maison France à l’UMP empêtré dans de sales draps extrémistes après une bonne cuite de Roms.
DSK le messie… ???
En attendant le messie, le PS chante l’unité avant les belles empoignades préélectorales. Comme si les « moutons de panurge » s’étaient donné comme consigne de tempérer leurs ardeurs avant de franchement commencer les "solférinades" (ces petits meurtres entre amis socialistes). Oui moutons de panurge, c’est le mot qui sied à merveille à ce qui s’annonce comme une mascarade. Il semble qu’après avoir écarté Ségolène Royal dont le charisme auprès des militants n’a jamais souffert d’une seule ride, le PS s’achemine vers un plébiscite DSK sans primaires. Martine Aubry laisserait ainsi simplement sa place au locataire du FMI que tous les médias de France et de Navarre ne cessent de présenter comme le futur adversaire probable de Sarkozy. Notre locataire de l’Elysée peut donc dormir tranquille avec sa Carlita.
Le messie n’existe pas
On pourrait paraphraser l’éminent sociologue Pierre Bourdieu pour qui l’opinion publique n’existe pas. Dans le cas du messie du parti socialiste, il est bel et bien un « effet d’imposition ». C'est-à-dire que la fabrication de DSK en homme sauveur du PS est à l’image de ces sondages d’opinion que fabriquent les sondeurs comme pour légitimer des points de vue dominants. Reste à savoir si cette imposition marchera dans le pays réel. D’autant que l’offensive sarkozienne sur la sécurité et l’identité franchouillarde risque bien de donner du fil à retordre à un candidat social-libéral dont l’image semble à mille lieux éloignée des français moyens. Incarnant la Gauche caviar à souhait, le messie a donc plus du pain sur la planche que du pain à distribuer aux Français en attente de jours meilleurs.
DSK le messie… ???
En attendant le messie, le PS chante l’unité avant les belles empoignades préélectorales. Comme si les « moutons de panurge » s’étaient donné comme consigne de tempérer leurs ardeurs avant de franchement commencer les "solférinades" (ces petits meurtres entre amis socialistes). Oui moutons de panurge, c’est le mot qui sied à merveille à ce qui s’annonce comme une mascarade. Il semble qu’après avoir écarté Ségolène Royal dont le charisme auprès des militants n’a jamais souffert d’une seule ride, le PS s’achemine vers un plébiscite DSK sans primaires. Martine Aubry laisserait ainsi simplement sa place au locataire du FMI que tous les médias de France et de Navarre ne cessent de présenter comme le futur adversaire probable de Sarkozy. Notre locataire de l’Elysée peut donc dormir tranquille avec sa Carlita.
Le messie n’existe pas
On pourrait paraphraser l’éminent sociologue Pierre Bourdieu pour qui l’opinion publique n’existe pas. Dans le cas du messie du parti socialiste, il est bel et bien un « effet d’imposition ». C'est-à-dire que la fabrication de DSK en homme sauveur du PS est à l’image de ces sondages d’opinion que fabriquent les sondeurs comme pour légitimer des points de vue dominants. Reste à savoir si cette imposition marchera dans le pays réel. D’autant que l’offensive sarkozienne sur la sécurité et l’identité franchouillarde risque bien de donner du fil à retordre à un candidat social-libéral dont l’image semble à mille lieux éloignée des français moyens. Incarnant la Gauche caviar à souhait, le messie a donc plus du pain sur la planche que du pain à distribuer aux Français en attente de jours meilleurs.
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dimanche, novembre 15, 2009
Pourquoi la gauche va encore perdre en 2012 ?

Le spectacle tristounet des responsables politiques de la gauche montre que le cœur n’y est pas encore. L’unanimisme de façade qui avait prévalu pendant la présidence de François Hollande, bon arrondisseur des ongles, a volé en éclats. L’épisode désormais célèbre de Dijon où Vincent Peillon a ostensiblement boudé la présence de son ancienne capitaine est peut être le signe avant coureur d’une nouvelle défaite de la gauche aux prochaines présidentielles de 2012.
D’abord, il va de soi que ce parti aujourd’hui morcelé en différents courants semble difficilement résister aux sirènes du sarkozisme. Certains chevaux de troie (Besson, Lang, Kouchner, Allègre, Hirsch, Bockel, Jouyet etc.) de ce courant avaient déjà quitté le navire au moment de l’accession au trône de Sarko. Ces défections au plus haut niveau étaient le signe le plus tangible d’une infiltration de ce parti aujourd’hui complètement aux aboies.
L’autre signe inquiétant c’est le retour de DSK dont les sondages pré-fabriqués prédisent un destin national. C’est à croire que les poules annoncent l’aurore. Rappelons les faits. DSK est un ancien lieutenant de Jospin, ce candidat malheureux aux présidentielles de 2002, aujourd’hui retraité diplomate, qui a quitté le navire socialiste pour le FMI. Est-il imaginable de penser que celui qui aurait pu contribuer a apporté sa pierre à l’édifice socialiste en ébranlement revienne au bercail en sauveur ? La compagnie créole dira que cela fait rire les oiseaux, quand on sait SARKO en personne s’est mouillé pour que ce dernier soit à la tête du FMI. Alors comment va-t-il mordre la main qui lui a permis d’être là où il est.
Enfin, ce qui est révoltant dans ce parti c’est son ringardisme. Ce parti dont on dit proche des immigrés a été celui qui a été incapable de faire de la place aux français issus de l’immigration. Toutes les pentes d’origine immigrée n’ont jamais réussi à s’insérer dans ce parti qui se proclame ami des étrangers et des fils d’immigrés. C’est une honte. Même la droite de SARKO a fait mieux que les socialistes en 60 ans de propagande pro-immigrée. Malek Boutih, Fodé Sylla, Koffi Yamgnane, Harlem Désir pour ne citer qu’eux ont essuyé des sacrés revers et renvoyé dans les bas fonds de ce cénacle des énarques qui ne pensent qu’à leurs trous du c. Je souligne que je n’ai aucune pitié ni aucune sympathie pour ces enfants de la diversité qui ont choisi l’humiliation en échange d’un strapontin qui n’arrive toujours pas. Même la grande dame Taubira que je respecte a été sacrifiée sur l’autel des intérêts égoïstes des petits ambitieux de bras cassés.
Le tout sauf Ségolène qui se joue désormais au PS montre bien que ce parti de bras cassés prépare son échec pour 2012. Peut être un chant de cygne. Mais davantage un indice du degré de sarkozisation du PS.
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