PARIS (Reuters) - Grâce à l'or de Maureen Nisima, l'argent de Gauthier Grumier et le bronze de Jean-Michel Lucenay, l'équipe de France a sauvé l'honneur lundi dans des championnats du monde d'escrime disputés sur son sol et marqués par deux premières journées sans aucune médaille.
"Avec la rage", la Martiniquaise Maureen Nisima est allée chercher la médaille d'or manquant à sa carrière après une seconde place en 2003 et une troisième place en individuel en 2007.
"Aujourd'hui, je gagne tout simplement parce que je devais avoir envie, bien plus envie que toutes les autres. Quelque part, il en était fini des accessits", a-t-elle déclaré.
Aujourd'hui, à l'en croire, "toute la Martinique avait fait le déplacement" au Grand Palais.
Vêtus de tee-shirts blancs arborant un "l love Mö", love écrit avec un coeur battant le rouge, sa bonne cinquantaine de supporters ne l'a pas lâchée une seule seconde derrière une banderole avec ces mots écrits en bleu-blanc-rouge "Yes, Mö can".
"Grâce à eux, aujourd'hui, je me suis sentie portée, je me suis sentie la plus forte. Je ne le serai, peut-être pas une autre fois alors je vais en profiter".
"Avec la rage", la Martiniquaise Maureen Nisima est allée chercher la médaille d'or manquant à sa carrière après une seconde place en 2003 et une troisième place en individuel en 2007.
"Aujourd'hui, je gagne tout simplement parce que je devais avoir envie, bien plus envie que toutes les autres. Quelque part, il en était fini des accessits", a-t-elle déclaré.
Aujourd'hui, à l'en croire, "toute la Martinique avait fait le déplacement" au Grand Palais.
Vêtus de tee-shirts blancs arborant un "l love Mö", love écrit avec un coeur battant le rouge, sa bonne cinquantaine de supporters ne l'a pas lâchée une seule seconde derrière une banderole avec ces mots écrits en bleu-blanc-rouge "Yes, Mö can".
"Grâce à eux, aujourd'hui, je me suis sentie portée, je me suis sentie la plus forte. Je ne le serai, peut-être pas une autre fois alors je vais en profiter".
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