Affaire Kitenge. Désormais : « Vous avez le droit de les traiter de sale noirs ». Le verdict du parquet de Créteil ne souffre pas de nuances. Selon un communiqué de l'avocat de M. Béranger, Me Mathieu Davy, rapporté par l’Afp, "la plainte pour diffamation et injures raciales déposée par M. Pierre-Damien Kitenge contre M. Gautier Béranger, ainsi que la plainte pour subornation de témoin déposée par (l'association) SOS Racisme, ont toutes deux été classées sans suite par décision du parquet de Créteil en date du jeudi 17 juillet dernier". Au bout de trois mois d'enquête.
Rappel des faits. Un banal contrôle de routine. Un employé remplissant son rôle comme il se doit. Un haut fonctionnaire du ministère de l’immigration et de l’identité nationale plus que zélé, irrité par son serviteur de couleur. Un homme noir insulté, rabaissé, diffamé, à cause de la couleur de sa peau. Morceau choisi : « vous n’avez pas le droit de me toucher sale noir… ». S’ensuit, une plainte. Au final, une justice qui lave blanc.
Pourquoi ce verdict ? Que signifie t-il aux yeux des millions de personnes stigmatisés dans ce pays à cause de leur couleur de peau assimilé à un tort irréductible ? Pourquoi cette affaire n’a pas provoqué autant d’indignation comme il est de coutume en France d’entendre des cris d’orfraie de la part des médias et des politiques lorsqu’il s’agit d’affaires similaires ? Les moralisateurs du dimanche et les donneurs de leçons ne se lèvent jamais pour des causes sans valeur ajoutée. Ce racisme bon marché, à portée de main, une camelote pour tout mortel. La haine banale, banalisée qui ne procure pas de l’adrénaline médiatico-politique. Bref, ce racisme de pacotille n’intéresse pas les puissants.
D’expérience, on sait qu’un homme noir est d’abord un noir. La justice, dont la mission première pourrait être de protéger chaque individu, indépendamment de son anatomie, enfonce le clou, qui plus est, en décernant des médailles d’or à ceux qui enfreignent la Loi. Noir tu es, noir tu resteras. La justice l’a redit noir sur blanc. Il n’y a pas de salut du sauvage dans le système conçu d’abord à la gloire du civilisateur. Aporie. Les règles sont faites pour d’abord profiter et servir à ceux qui les font. Humiliation. Le contester n’est que charabia. Persister n’est que se complaire dans la victimologie. Sous homme. De quoi noir te plains tu ? Le pays d'accueil t'a offert le gîte, le couvert et les papiers. Affabulation. Tes jérémiades n'y changeront rien. Mytho. Et rentres enfin dans ta bambolie.
Rappel des faits. Un banal contrôle de routine. Un employé remplissant son rôle comme il se doit. Un haut fonctionnaire du ministère de l’immigration et de l’identité nationale plus que zélé, irrité par son serviteur de couleur. Un homme noir insulté, rabaissé, diffamé, à cause de la couleur de sa peau. Morceau choisi : « vous n’avez pas le droit de me toucher sale noir… ». S’ensuit, une plainte. Au final, une justice qui lave blanc.
Pourquoi ce verdict ? Que signifie t-il aux yeux des millions de personnes stigmatisés dans ce pays à cause de leur couleur de peau assimilé à un tort irréductible ? Pourquoi cette affaire n’a pas provoqué autant d’indignation comme il est de coutume en France d’entendre des cris d’orfraie de la part des médias et des politiques lorsqu’il s’agit d’affaires similaires ? Les moralisateurs du dimanche et les donneurs de leçons ne se lèvent jamais pour des causes sans valeur ajoutée. Ce racisme bon marché, à portée de main, une camelote pour tout mortel. La haine banale, banalisée qui ne procure pas de l’adrénaline médiatico-politique. Bref, ce racisme de pacotille n’intéresse pas les puissants.
D’expérience, on sait qu’un homme noir est d’abord un noir. La justice, dont la mission première pourrait être de protéger chaque individu, indépendamment de son anatomie, enfonce le clou, qui plus est, en décernant des médailles d’or à ceux qui enfreignent la Loi. Noir tu es, noir tu resteras. La justice l’a redit noir sur blanc. Il n’y a pas de salut du sauvage dans le système conçu d’abord à la gloire du civilisateur. Aporie. Les règles sont faites pour d’abord profiter et servir à ceux qui les font. Humiliation. Le contester n’est que charabia. Persister n’est que se complaire dans la victimologie. Sous homme. De quoi noir te plains tu ? Le pays d'accueil t'a offert le gîte, le couvert et les papiers. Affabulation. Tes jérémiades n'y changeront rien. Mytho. Et rentres enfin dans ta bambolie.
3 commentaires:
rien de surprenant .
Quand on sait que le Cran est en pleine magouille et ne sert à rien sauf à engraisser son président .
Nous ne sommes pas sorti de l'auberge .
Cran. Faut rien attendre de ces anes comme dirait l'autre. Oui you are rigt. Une association infiltrée, engraissée ensuite. Ajoutée la hiérarchie des racismes...Peut être qu'il y a qch de specifiquement nègre qui empêche les Noirs de se prendre en main. Mais lequel ? Est ce d'ordre psychologique, religieux, spitrituel, intellectuel ? Je cherche...
Le point final de cette affaire m'avait échappé. Merci pour l'information.
Je vais déverser mon indignation qui est immense en privé. Grhhhh !!!
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