Depuis quelque temps, les qualificatifs fusent de partout pour stigmatiser le règne de celui qui est devenu l’ennemi public N°1 des puissances occidentales. On l’accuse d’être un despote, un tyran qui dirige son pays d’une main de fer et qui risque de l’entraîner dans une guerre fratricide.
En réalité, nous risquons de fausser le jugement sur cet homme à cause de la propagande des médias occidentaux qui l’affublent de tous les noms. Pourquoi le héros de l’indépendance du Zimbabwé est-il en train de venir la bête noire des pays occidentaux ?
Lorsqu’un dirigeant africain devient la cible des attaques occidentales en tout genre, c’est que ce dernier est sur la bonne voie. Ce qui est sûr c’est que l’on ne fera pas de reproches à un homme qui a mis fin, dans son pays, à une des plus grandes injustices liées à l’héritage de la colonisation, en mettant fin au monopole des terres détenus par les petits fils de colons de l’ancienne Rhodésie au profit du peuple zimbabwéen.
On risque également d’encenser une opposition zimbabwéenne pour de mauvaises raisons. Si elle est soutenue aujourd’hui par la presse internationale et les dirigeants occidentaux, ce n’est pas en raison de son attachement à la démocratie, mais pour sa propension à assumer le rôle de relais du néocolonialisme britannique et à travailler pour les intérêts des puissances coloniales. D’ailleurs, Mugabé avant d’être le tyran d’aujourd’hui était un ami de la Reine d’Angleterre qui l’avait d’ailleurs décoré du titre de chevalier.
On comprendra alors la phrase sus citée, lorsqu’un dirigeant africain ne fait plus l’affaire des puissances occidentales, on l’affuble de tous les maux. Une autre version du dicton quand on veut noyer son chien on l'accuse d'avoir la rage.
En réalité, nous risquons de fausser le jugement sur cet homme à cause de la propagande des médias occidentaux qui l’affublent de tous les noms. Pourquoi le héros de l’indépendance du Zimbabwé est-il en train de venir la bête noire des pays occidentaux ?
Lorsqu’un dirigeant africain devient la cible des attaques occidentales en tout genre, c’est que ce dernier est sur la bonne voie. Ce qui est sûr c’est que l’on ne fera pas de reproches à un homme qui a mis fin, dans son pays, à une des plus grandes injustices liées à l’héritage de la colonisation, en mettant fin au monopole des terres détenus par les petits fils de colons de l’ancienne Rhodésie au profit du peuple zimbabwéen.
On risque également d’encenser une opposition zimbabwéenne pour de mauvaises raisons. Si elle est soutenue aujourd’hui par la presse internationale et les dirigeants occidentaux, ce n’est pas en raison de son attachement à la démocratie, mais pour sa propension à assumer le rôle de relais du néocolonialisme britannique et à travailler pour les intérêts des puissances coloniales. D’ailleurs, Mugabé avant d’être le tyran d’aujourd’hui était un ami de la Reine d’Angleterre qui l’avait d’ailleurs décoré du titre de chevalier.
On comprendra alors la phrase sus citée, lorsqu’un dirigeant africain ne fait plus l’affaire des puissances occidentales, on l’affuble de tous les maux. Une autre version du dicton quand on veut noyer son chien on l'accuse d'avoir la rage.
Enfin, Mungabé en acceptant le verdict des urnes sait qu'il en paiera le prix fort : celui d'être à la merci de ces nouveaux ennemis.