« Le scénario d'une étonnante double vie se dessine, soulignant l'inconséquence d'un homme politique surdoué mais gouverné par ses sens. Et finalement perdu par ses pulsions ». L'Express.
Alors que le feu autour de l’affaire Nafissatou/Dsk n’est pas encore totalement éteint, puisqu’une plainte a été déposée par la plaignante au civil, l’ancien patron du FMI est de nouveau sous les cendres d’un scandale politico-sexuel, l'Affaire du Carlton. Auparavant il ne s’agissait que de rumeurs, mais de plus en plus on s’en éloigne. Le récit que vient de publier le journal l’Express au sujet de l’étonnante double vie de l’ex candidat socialiste à la présidentielle est plus qu’effarant. Tant il dégouline de moult détails croustillants. Il est question de partouzes, de soirées échangistes, libertines, d’ébats dans les restaurants et les W-C d’hôtels luxueux comme le « W » ou encore Murano situé près de la place de la République. De sodomie, des rapports sexuels parfois brutaux avec certaines de ses partenaires. Parmi elles, des prostituées venues de « maisons de débauches belges ». DSK est un homme très "entreprenant" que ces acolytes décrivent comme un « gros cochon ». Ces parties fines n'ont rien à envier aux "bunga bunga" italiennes de Silvio Berlusconi. Au point que le journaliste, auteur de l’enquête, souligne « même les frasques de certains élus de la IVe République paraissent fades en comparaison du système d'approvisionnement en call-girls mis en place pour satisfaire l'ex-patron du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn ». Comment un homme politique de sa stature, de son rang a pu mener cette vie de patachon, de bâton de chaise, sans que son entourage et ses amis ne soient au courant ou alertés ?
Alors que le feu autour de l’affaire Nafissatou/Dsk n’est pas encore totalement éteint, puisqu’une plainte a été déposée par la plaignante au civil, l’ancien patron du FMI est de nouveau sous les cendres d’un scandale politico-sexuel, l'Affaire du Carlton. Auparavant il ne s’agissait que de rumeurs, mais de plus en plus on s’en éloigne. Le récit que vient de publier le journal l’Express au sujet de l’étonnante double vie de l’ex candidat socialiste à la présidentielle est plus qu’effarant. Tant il dégouline de moult détails croustillants. Il est question de partouzes, de soirées échangistes, libertines, d’ébats dans les restaurants et les W-C d’hôtels luxueux comme le « W » ou encore Murano situé près de la place de la République. De sodomie, des rapports sexuels parfois brutaux avec certaines de ses partenaires. Parmi elles, des prostituées venues de « maisons de débauches belges ». DSK est un homme très "entreprenant" que ces acolytes décrivent comme un « gros cochon ». Ces parties fines n'ont rien à envier aux "bunga bunga" italiennes de Silvio Berlusconi. Au point que le journaliste, auteur de l’enquête, souligne « même les frasques de certains élus de la IVe République paraissent fades en comparaison du système d'approvisionnement en call-girls mis en place pour satisfaire l'ex-patron du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn ». Comment un homme politique de sa stature, de son rang a pu mener cette vie de patachon, de bâton de chaise, sans que son entourage et ses amis ne soient au courant ou alertés ?
Les proches savaient-ils quelque chose ? DSK les a-t-il manipulés ? En tous les cas, ces nouvelles révélations accréditent un peu plus la thèse d’un homme « malade » ne maîtrisant point ses pulsions sexuelles. D’ailleurs l’intéressé aurait déjà fait des confessions en ce sens à ses proches. Mais ne s’agit-il pas d’une énième parade pour mieux encore échapper à la justice ? Ceux qui l’ont pris pour Casanova ou Don juan en ont pour leur queue. Et voilà que Nafissatou Dialloest réhabilitée. La femme par qui le scandale est arrivé. Au grand dam de ses détracteurs en France. Aujourd’hui ces derniers doivent lamentablement déchanter. Finalement, la guinéenne disait vrai. Ni prostituée ni démon, cette femme, injustement déboutée par une justice américaine aux ordres des puissants, a par sa plainte rendue un service inestimable aux Français qui ont failli élire un « malade sexuel » à la tête de leur pays. Nafissatou a sauvé la France et les Français avec. De ce geste, la jeune femme devrait au moins être élevée au grade de « grand serviteur de la Nation française».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire