Les puissants ont toujours le dernier mot. Sauf dans les films de Walt Disney où le faible ou le pauvre retrouve sa dignité d’homme bafoué. Jean de la Lafontaine en son temps avait vu juste : « selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ». Pourtant c’est bien au pays de Disney que se déroule ce feuilleton politico-sexuel, qui a passionné le monde entier, mettant aux prises l’homme politique français DSK à une soubrette d’origine guinéenne, Nafissatou. L’on me dira mais il ne faut pas confondre la réalité et la fiction. N’empêche que dans cette affaire c’est bien la fiction qui a rattrapé la réalité.
Elle est grosse la ficelle. La décision du procureur Cyrus Vance d’abandonner les charges sur le présumé violeur de la jeune femme de chambre africaine, malgré un rapport médical accablant, nous laisse un peu songeur. Quoi donc ? Que cette histoire de pipe n’était que du pipeau ? Notre Nafissatou Diallo internationale n’était au final qu’une affabulatrice attirée par l’appât du gain. Que cette histoire de « quequête » n’avait ni queue ni tête ? Que c’est dégoûtant cette justice américaine qui dégouline des préliminaires juridiques très marathoniens pour finir en queue de poisson. Vance est-il impuissant pour mener cette affaire jusqu’au bout ? Et c’est bien connu que les érections les plus rapides sont celles qui déçoivent.
Pourtant on l’avait bien vu le « bout qui sent » de cette affaire. Et malgré le sang qui bout de notre influent ex patron du FMI. Sans doute étions-nous trop naïf de croire que le pays de l’oncle Sam était différent des autres pays occidentaux concernant la domination du phallus, qui plus est, avec des couilles en or. Trop naïf d’avoir exagéré ce rôle de pays modèle dans le rendu de la justice. Car au lieu de dire le droit, la justice américaine s’est contentée de juger le passé de la plaignante. Ce n’est pas parce que vous a été truand dans le passé que le fait d’être à son tour truandé fait de vous une pseudo victime. Cyrus Vance est-il allé trop vite en besogne. En tous les cas le débandage de l’affaire laisse un arrière goût d’inachevé quelque soit les déclarations contradictoires de la plaignante.
Dans une Amérique cernée par des lobbys, il n’est pas exclu que ce procureur ait agi sous le coup des pressions de toutes sortes. Car cette affaire trempait bel et bien dans un tissu dégoulinant de mensonges sur fond d’un clapotis médiatique malsain. En effet tous les écrivaillons de France et de Navarre avaient crié au complot avant d’être rejoint par leurs clowns d’Amérique qui pourtant avaient allumé la mèche peut être un peu trop vite. Résultat des courses, c’est désormais la victime qui fait office de coupable ? En attendant l’issue du procès civil, il ne reste plus qu’à souhaiter bon repos à l’entrejambe de notre désormais célèbre prédateur, oh pardon « séducteur international». Grâce à son bataillon d’avocats, il nous l’a bien mis profond ce coup ci « domine -nique » !
Elle est grosse la ficelle. La décision du procureur Cyrus Vance d’abandonner les charges sur le présumé violeur de la jeune femme de chambre africaine, malgré un rapport médical accablant, nous laisse un peu songeur. Quoi donc ? Que cette histoire de pipe n’était que du pipeau ? Notre Nafissatou Diallo internationale n’était au final qu’une affabulatrice attirée par l’appât du gain. Que cette histoire de « quequête » n’avait ni queue ni tête ? Que c’est dégoûtant cette justice américaine qui dégouline des préliminaires juridiques très marathoniens pour finir en queue de poisson. Vance est-il impuissant pour mener cette affaire jusqu’au bout ? Et c’est bien connu que les érections les plus rapides sont celles qui déçoivent.
Pourtant on l’avait bien vu le « bout qui sent » de cette affaire. Et malgré le sang qui bout de notre influent ex patron du FMI. Sans doute étions-nous trop naïf de croire que le pays de l’oncle Sam était différent des autres pays occidentaux concernant la domination du phallus, qui plus est, avec des couilles en or. Trop naïf d’avoir exagéré ce rôle de pays modèle dans le rendu de la justice. Car au lieu de dire le droit, la justice américaine s’est contentée de juger le passé de la plaignante. Ce n’est pas parce que vous a été truand dans le passé que le fait d’être à son tour truandé fait de vous une pseudo victime. Cyrus Vance est-il allé trop vite en besogne. En tous les cas le débandage de l’affaire laisse un arrière goût d’inachevé quelque soit les déclarations contradictoires de la plaignante.
Dans une Amérique cernée par des lobbys, il n’est pas exclu que ce procureur ait agi sous le coup des pressions de toutes sortes. Car cette affaire trempait bel et bien dans un tissu dégoulinant de mensonges sur fond d’un clapotis médiatique malsain. En effet tous les écrivaillons de France et de Navarre avaient crié au complot avant d’être rejoint par leurs clowns d’Amérique qui pourtant avaient allumé la mèche peut être un peu trop vite. Résultat des courses, c’est désormais la victime qui fait office de coupable ? En attendant l’issue du procès civil, il ne reste plus qu’à souhaiter bon repos à l’entrejambe de notre désormais célèbre prédateur, oh pardon « séducteur international». Grâce à son bataillon d’avocats, il nous l’a bien mis profond ce coup ci « domine -nique » !
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