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Jusque là le déroulement factuel paraît tout à fait clair. Sauf que des zones d’ombre subsistent sur la chasse à l’homme qui voulait, dit-on, mettre à genoux la République. Comment un homme ayant séjourné dans une zone afghano-pakistanaise de combats pouvait-il être laissé sans surveillance ? Pourquoi n’a-t-il pas été interpellé avant d’avoir exécuté les victimes de l’école juive, puisque la police avait fait le lien entre la vente du scooter et l’identité de la mère du meurtrier grâce aux adresses (ip) des consultants ? Pourquoi le domicile de la mère n’a-t-il pas été perquisitionné avant de commettre ses derniers forfaits ? Pourquoi les autorités ont-elles tant attendu avant de se prononcer sur les meurtres de militaires, même si elles avaient commencé à entreprendre les recherches ? Voilà des zones d’ombres qui restent sans réponse mais qui en disent long sur ce que certains appellent une forme de récupération politique de la part de certains protagonistes de la campagne électorale.
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