mardi, octobre 20, 2009

US : un juge de la paix dit non aux mariages interethniques


Un couple américain formé d’un Noir et d’une Blanche a vu sa volonté d’unir sa destinée refusée par un juge de la Louisiane, prétextant que le mariage causerait préjudice à leurs enfants.

Le juge de paix Keith Bardwell (un Blanc) de la paroisse de Tangipahoa dément les allégations de racisme qui ont été formulées à son endroit. Selon lui, les enfants issus d’unions interethniques éprouvent plus de difficulté à se faire accepter des communautés auxquelles appartiennent les parents.

Le magistrat indique qu’il a procédé à de nombreux mariages au cours de ses 34 ans de carrière, tant chez les Blancs que chez les Afro-Américains. Les unions interethniques présentent plus de risque d’échec, et ce sont au final les enfants qui en souffrent, estime-t-il.

Beth Humphrey et Terence McKay ont pu finalement échanger leurs anneaux au cours d’une cérémonie présidée par un juge d’une paroisse voisine.

Le couple envisage maintenant de porter plainte pour discrimination. Pour sa part, l’Association américaine de défense des libertés civiles (ACLU) a demandé une sanction contre le juge Bardwell.

Le juge de la paix n’en démord pas: le refus d’officialiser les mariages de couples mixtes demeure sa prérogative.
Sources Canoe.ca actualités

jeudi, octobre 15, 2009

U.S : Les médias conservateurs attaquent Obama


Beaucoup ont cru que l'élection de Barack Hussein Obama signait l'acte de decès de l'Amérique postesclavagiste avec son cortège de crimes au nom de la supématie raciale et qu'une ère nouvelle s'ouvrait inaugurant ainsi l'avénement d'une société postraciale. Que nenni. Obama est de plus en plus victime d'attaques dont certaines, aux dires de l'ancien Président Jimmy Carter sont carrément racistes...Affaire à suivre !

La Maison-Blanche a décidé de répliquer aux critiques acerbes de certains médias américains conservateurs visant le président Barack Obama.
Elle s'en prend particulièrement à la chaîne Fox News, qu'elle accuse d'avoir déclaré « la guerre » au président.
Le président Obama est attaqué sur tous les fronts par les médias conservateurs américains, Fox News en tête. Entre autres, son projet de
réforme du système de santé est sévèrement critiqué et sa stratégie en Afghanistan est de plus en plus remise en question. Dernièrement, les commentaires sur les efforts de M. Obama pour aider la ville de Chicago à obtenir les Jeux olympiques de 2016 et les critiques sur son obtention du prix Nobel de la paix semblent avoir été la goutte qui a fait déborder le vase.
La directrice des communications de la Maison-Blanche, Anita Dunn, est donc montée aux barricades pour défendre le président. Ainsi, elle a déclaré au New York Times que l'administration Obama allait maintenant traiter Fox News « comme on traite un adversaire ».
Puisqu'ils mènent une guerre contre Barack Obama et la Maison-Blanche, nous ne sommes pas obligés de faire comme s'il s'agissait du comportement normal d'une organisation de presse.
Anita Dunn, directrice des communications de la Maison-Blanche
Sur les ondes de CNN, elle a ajouté que Fox News était une chaîne de « journalisme d'opinion déguisée en chaîne d'information ». Selon elle, l'entreprise de Rupert Murdoch se fait ni plus ni moins le porte-parole des républicains sur la plupart des sujets. Elle a précisé que cette campagne de dénigrement contre le président était la raison pour laquelle Barack Obama, un dimanche où il avait accordé des entrevues à plusieurs médias, avait boudé Fox News.
La Maison-Blanche va aussi à la guerre sur Internet. Dans un billet publié dernièrement sur son blogue, elle a accusé Glenn Beck, un animateur de Fox News, de lancer des attaques partisanes dans le seul espoir de faire monter ses cotes d'écoute.
M. Beck est un sévère critique de Barack Obama depuis son investiture. En juillet dernier, il a qualifié de « raciste » le président, qui aurait selon lui « une haine profonde des Blancs ».
Trouver un ennemi commun
Certains remettent toutefois en perspective cette charge de la Maison-Blanche contre Fox News. Par exemple, Larry Sabato, directeur du Center for Politics à l'Université de Virginie, soutient qu'il est possible que la Maison-Blanche s'en prenne à Fox News car « la base démocrate » est elle-même de plus en plus « critique envers Obama ». Selon lui, « si vous êtes dans cette situation et que vous avez besoin de rallier vos partisans, il vous faut trouver un ennemi commun ».
Fox News a répliqué en accusant la Maison-Blanche de faire fausse route. Michael Clemente, vice-président chargé des médias de la chaîne, a dit que, selon lui, la Maison-Blanche devrait « consacrer son énergie aux problèmes importants qui inquiètent les électeurs » au lieu de s'en prendre au messager. « Attaquer le messager, à la longue, cela ne fonctionne jamais », a-t-il ajouté.
Sources Radio-Canada.ca avec Agence France Presse

23 millions de personnes menacées par la disette en Afrique de l'Est


Plus de 23 millions de personnes sont menacées par la disette et la pauvreté en Afrique de l'Est, touchée par la crise la plus grave depuis une décennie, a averti l'organisation humanitaire Oxfam qui lance un appel de fonds pour quelque 10 millions d'euros.
Une vague de sécheresse qui sévit depuis cinq ans dans sept pays africains est la cause de grandes souffrances exacerbées par le niveau élevé des prix alimentaires et les conflits armés, a souligné Oxfam dans un communiqué.
«Les pluies sont de plus en plus imprévisibles et rares en Afrique de l'Est tandis que les saisons des pluies se raccourcissent à cause de l'influence grandissante du changement climatique», a souligné le directeur régional d'Oxfam, Paul Smith Lomas.
3,8 millions de Kenyans - un dixième de la population - a besoin d'une aide d'urgence après la pire sécheresse depuis une décennie et un bond des prix alimentaires qui sont 180% plus élevés que leur niveau moyen, selon l'organisation.
En Ethiopie, 13,7 millions de personnes risquent la famine, et deux millions de personnes ont besoin de secours en Ouganda. La Somalie, en prise aux conflits armés, fait face à la crise humanitaire la plus grave depuis 1991 avec 3,8 millions de personnes affectées.
Au début du mois, la fédération internationale de la Croix rouge et ses organisation affiliées avaient lancé un appel urgent pour venir en aide à quelque 10 millions de Kenyans touchés par la sécheresse.
(Source AFP)

lundi, octobre 12, 2009

France : au Royaume des aveugles, les fils de… sont Rois


La France est belle bien une république bananière, les pays africains n’ont plus le monopole des « petits arrangements en famille » à l’instar du Bongoland (Gabon).
Il ne vous a pas échappé l’arrivée certaine de Jean Sarkozy, 23 ans, à la tête de l'Etablissement public d'aménagement du quartier d'affaires de La Défense (Epad). On peut dire que désormais, pour gagner plus, il ne faut pas travailler plus, il faut seulement être fils de…Humm Clanisme, népotisme, tout cela a un arrière-goût de monarchisme sur fond d’affairisme. Du coup le « je serais le président du pouvoir d’achat » reste un peu en travers de la gorge. Peut être qu’il manquait presque un bout à cette phrase, « le pouvoir d’achat de consciences ».
C’est vrai que l’ami Dévedjan atteint par la limite d’âge n’avait pas de successeur. Il n’est pas normal qu’en France, de jeunes diplômés ne puissent pas réussir, à l’instar du fils du président. A peine sorti du berceau, le voilà sur le toit d’un gratte-ciel, il fallait le faire. Sarko fils l’a fait. C’est vrai que avec Sarko tout devient possible. Après l’époque des « Papa m’a dit », voici l’ère des Papa m’a fait ». Mais ce n’est pas nouveau sous le soleil de France. Il y en a eu d’autres. Moralité : faites ce que je dis, mais ne regardez pas ce que je fais. Allez au boulot les Français, bande de veaux…lol

dimanche, octobre 11, 2009

Les erreurs de jeunesse se payent très cher


Voilà un Monsieur qui a voulu faire du zèle dans ses déclarations de soutien à l’endroit du cinéaste franco-polonais Polanski arrêté par les autorités suisses à la demande de la justice américaine pour son passé trouble de pédophile. Cela s’appelle prendre des coups à la place de l’accusé alors qu’on avait rien demandé.
Certes les écrits pour le moins douteux couchés dans son livre "La Mauvaise vie" par l’écrivain devenu Ministre de la culture ne plaident pas en sa faveur, il n’en demeure pas moins que F. Mitterand a un peu poussé la chose trop loin. Comment peut-on prendre la défense d’un homme accusé d’abus sur mineur ? Le talent n’excuse pas tout.
L’affaire Polanski devenue l’affaire Mitterand révèle la profonde érosion du socle des valeurs dont se prévalent les démocraties occidentales. Ces affaires sont le signe patent d’une crise des valeurs pour des sociétés qui ont érigé le monétarisme et le consumérisme au rang de Dieu. Désormais les mots n’on plus aucun sens sauf celui d’en rajouter à la confusion, à du n’importe quoi. Un homme abuse d’une jeune mineur, c’est normal, il est riche, il est talentueux, il est est…On occupe un pays illégalement soupçonné de fabriquer des armes de destruction massive, tout est normal, personne ne s’en émeut. Aujourd’hui l’Irak est un champ de ruines. Un pays viole le droit international en s’attaquant à des civils lors des représailles qui visaient des groupuscules armées. Là encore la loi du silence des médias, c’est normal parce que… etc. Quelles valeurs animent donc les Occidentaux ?
Et l’ironie dans tout ça, c’est que le parti politique par qui le scandale arrive est celui là même qui a bénéficié depuis des décennies d’une impunité médiatique et juridique sans nom alors qu’il prône la xénophobie et le racisme. Cela s’appelle marcher sur la tête…et les bras m’en tombent quand ceux qui devraient être censurés s’érigent en censeurs. On peut dire que l’Occident sera victime un jour ou l’autre de sa propension à prostituer le droit et à pratiquer la justice d’intérêts.

jeudi, octobre 08, 2009

PUBLIC ENEMY propose aux fans d'investir dans leur album


Pour 25 dollars, les internautes peuvent financer le prochain album du groupe. En échange, ils recevront une part des ventes ainsi qu'un exemplaire numéroté.
Public Enemy (Sipa) Le groupe de rap américain Public Enemy propose aux internautes, depuis mardi 6 octobre, de financer leur prochain album en échange d’une rémunération sur les ventes.Les légendes du rap se sont associées au site Sellaband permettant à des artistes, souvent peu connus ou débutants, de faire appel à leurs fans pour financer leur carrière. Ainsi, pour 25 dollars, les internautes peuvent investir dans le prochain album de Public Ennemy qui leur reversera en retour une part des bénéfices sur les ventes. Les " investisseurs" recevront par ailleurs un exemplaire numéroté de l’album. Le groupe espère récolter ainsi 250.000 dollars.
"Restructure l'industrie de la musique"Interrogé par le site du magazine musical NME, le rappeur Chuck D a vanté les avantages du modèle économique proposé par Sellaband, dont il est par ailleurs "ambassadeur" depuis le mois de mars 2009. Il s’agit, selon lui, "de restructurer l’industrie de la musique en l’inversant". "Cela part tout d’abord des fans, après les artistes créent la musique". Au terme de l'accord signé entre Public Enemy et Sellaband, le groupe restera propriétaire des droits liés à son album et pourra choisi le nombre d'internautes le finançant.Formé en 1982 à New York, Public Enemy a été l’un des groupes de rap les plus influents de la fin des années 80 et du début des années 90. Très engagé dans la défense des droits des Afro-américains, il avait été, à la fin des années 90, au centre de nombreuses polémiques et accusé d’antisémitisme et d’homophobie.
Source Le Nouvelobs.com

lundi, octobre 05, 2009

Benoît XVI appelle l'Afrique à la résistance


Nous reproduisons ici l'article du site La Croix.fr

Lors de la messe d’ouverture du Synode pour l’Afrique, le pape, qui considère ce continent comme un « immense poumon spirituel », a fustigé les fondamentalismes religieux et les « déchets toxiques spirituels » qui le « contaminent »
Lentement, les pères synodaux s’avancent. Ils viennent de toute l’Afrique. Parmi eux, Mgr Louis Portella Mbuyu, évêque de Kinkala et président de la Conférence épiscopale du Congo. Son témoignage est saisissant : « Mon diocèse a vécu une guerre civile de 1997 à 1999 avec, jusqu’à aujourd’hui, la permanence des milices “ninjas”. L’Église s’est mobilisée, dialoguant avec le leader des “ninjas”, pour tenter d’aboutir à une paix définitive. Aujourd’hui, la milice a pu être officiellement désarmée, ce désarmement et la réinsertion socio-économique des enfants-soldats ayant été financés par la Banque mondiale. Mais nous restons vigilants, un désarmement n’est jamais définitif. La plupart des écoles et des dispensaires ont été détruits. C’est toute une génération de jeunes qui n’a donc pas connu l’école, depuis dix ans. »Dans un tel marasme, Mgr Mbuyu attend beaucoup du Synode. « Que l’Église soit plus fortement présente dans la réalité sociale, car les misères que nous connaissons relèvent de la mauvaise gestion des hommes et des biens. Nous avons d’énormes possibilités matérielles, économiques, humaines, mais tout est gaspillé. »

« Que l’Occident cesse d’exploiter notre continent »
Comme lui, bon nombre des évêques qui s’avancent dimanche 4 octobre dans la basilique Saint-Pierre pour la messe d’ouverture du Synode pour l’Afrique souhaitent que l’Église, par le biais de cette rencontre, bouscule les dirigeants, africains mais aussi occidentaux. « Que les chrétiens d’Europe et d’Amérique prennent l’Afrique au sérieux et que l’Occident cesse d’exploiter notre continent sans vergogne », lancera ainsi, à la sortie de la basilique, Mgr Philip Naameh, archevêque de Tamale (Ghana). « Nous avons besoin d’un projet qui mobilise toute l’Afrique », estime pour sa part Mgr Daniel Mizonzo, du Congo-Brazzaville, qui souhaite que « le monde entier écoute ce que l’Afrique a à dire ».
Au cours de la cérémonie, les langues et les voix africaines étaient largement présentes, mêlées au latin, au français, au portugais, à l’anglais, langues de travail de ce synode. Nakoma peto (« Que je devienne pur »), chanté en lingala (langue du Congo), a scandé le rite d’aspersion, au début de la célébration. C’est la responsable des Focolari de Côte d’Ivoire, Geneviève Amalia Mathilde Sanze, qui a lu la première lecture en français. Après la proclamation de l’Évangile en latin, la prière des fidèles a été prononcée en swahili, en portugais, en amharique, en haoussa, en lingala et en arabe. Un chant en kikongo, Ee Mkufu, Yamba Makabi (« Seigneur accueille cette offre ») a accompagné l’offertoire, tandis que le Togolais Edem Kodjo, ancien secrétaire général de l’Organisation de l’unité africaine, est parmi ceux qui apportent les offrandes devant Benoît XVI. À la fin de la célébration, l’hymne Tokobondela yo e, Mama Maria (« Nous te prions, Maman Marie ») est exécuté en lingala.

« Une source d’exploitation, de conflit et de corruption »
Dans son homélie, Benoît XVI s’est montré très vigoureux. Il a rappelé que les ressources de l’Afrique sont « une source d’exploitation, de conflit et de corruption ». Mais, pour lui, « l’Afrique représente un immense “poumon” spirituel (…) qui peut aussi tomber malade ». Et c’est bien le mot de « maladie » que le pape utilise, « une maladie déjà diffusée dans le monde occidental, à savoir le matérialisme pratique, associé à la pensée relativiste et nihiliste ». Le « premier monde » est clairement accusé par le pape d’exporter « des déchets toxiques spirituels » qui contaminent les populations des autres continents. « Le colonialisme n’est jamais tout à fait terminé », dit-il.
Benoît XVI dénonce un « second virus » : « le fondamentalisme religieux, lié à des intérêts politiques et économiques ». L’accusation vise l’efflorescence des sectes, ces groupes qui « sont en train de se répandre sur le continent africain ; ils le font au nom de Dieu, mais selon une logique opposée à la logique divine, c’est-à-dire en enseignant et en pratiquant non pas l’amour et le respect de la liberté, mais l’intolérance et la violence ».

« La famille est le lieu de la vie »
Puis Benoît XVI insiste sur « la thématique complexe du mariage dans le contexte africain ecclésial et social », en lien avec l’évangile du jour (Mc 10, 2-16) : « Dans la mesure où elle conserve et développe sa foi, l’Afrique pourra trouver des ressources immenses à donner en faveur de la famille fondée sur le mariage. » « Chez nous, les valeurs familiales sont très importantes, parce que la famille est le lieu de la vie et la vie est la valeur sur laquelle tout est fondé », confirme Sœur Marie-Bernard Alima, secrétaire générale de la Commission Justice et Paix du Congo et de la région des Grands Lacs, venue pour le Synode avec un groupe de religieuses.
Enfin, Benoît XVI insiste sur « la grande contribution » de l’Église « à toute la société », pourvu qu’elle soit fidèle à sa vocation d’être « prophétie et ferment de réconciliation entre différents groupes ethniques, linguistiques et aussi religieux, à l’intérieur de chaque nation et sur tout le continent ». Ce que redit à sa manière, à la sortie de la basilique, Mgr Jean Zerbo, archevêque de Bamako (Mali) : « Nous, Église en Afrique, sommes fille de l’Europe et nous ne souhaitons pas vivre en orpheline ; tels des enfants heureux de savoir que leur maman reste fidèle aux valeurs qu’elle a transmises, nous souhaitons que l’Église en Occident continue de vivre avec ce qu’elle nous a donné de meilleur, la foi en Jésus-Christ. »
À l’Angélus, Benoît XVI a bien précisé le mode d’emploi de ce Synode : « Il ne s’agit ni d’un colloque ni d’une assemblée programmatique », a-t-il rappelé, car « nous n’en sommes pas les protagonistes : ce sont le Seigneur et le Saint-Esprit qui guident l’Église ».

Claire LESEGRETAIN et Frédéric MOUNIER, à Rome


vendredi, octobre 02, 2009

La Libye expulse des immigrés Nigérians


Lagos, Nigeria - La Libye a expulsé 740 Nigérians, ce qui porte à 1064 le nombre d'émigrés rapatriés de ce pays au cours de ces derniers jours, rapporte vendredi la presse locale.Le mois dernier, la Libye avait expulsé 330 émigrés clandestins nigérians qui tentaient de se rendre en Europe.

Selon certaines sources, quelque 200 Nigérians sont dans les couloirs de la mort des prisons libyennes pour divers délits, dont la violation des lois d'immigration, le meurtre, le trafic de drogue et le vol à main armée.Au début de cette semaine, une ONG nigériane, Socio-Economic Rights and Accountability Project (SERAP), a annoncé que les autorités libyennes avaient accepté de cesser les exécutions de Nigérians.

Le SERAP affirme avoir porté le cas de ces condamnés à mort devant la Commission africaine des droits de l'homme et des peuples, un organe dont le siège se trouve à Banjul, en Gambie.